La queue de l’AF 447 Rio-Paris repéchée

La queue de l’avion d’Air France qui s’est abimé en mer lors de son vol entre Rio de janeiro et Paris, l’AF 447, a été repéchée, comme en témoignent les photos ci-dessous :

Queue empennage AF 447 Air France Rio de Janeiro Paris

Queue empennage AF 447 Air France Rio de Janeiro Paris

D’autres morceaux de l’Airbus A 330 ont également été repêchés, comme on peut le voir ci-dessous :

Morceaux AF 447 Air France Rio de Janeiro Paris

3 réflexions sur « La queue de l’AF 447 Rio-Paris repéchée »

  1. Bonne nouvelle, pour la recherche. En espérant qu’il trouve la boite noir !

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  2. CELA FAIT PLUS DE TRENTE ANS QUE TOUT CE QUI S’EST

    ÉCRASÉ N’AURAIT PAS DÛ S’ÉCRASER ET PLUS JAMAIS

    PU S’ÉCRASER :

    Cela fait plus de trente ans que toute l’aviation aurait due être refaite. Cela fait plus de trente ans que l’on ne prend pas mes AILES “VIVANTES” en considération. Cela fait plus de trente ans que l’on ne me prend pas en considération . . .

    * * *

    Dernièrement, volant avec mes ailes “vivantes”, ni passagers du vol AF 447 Rio-Paris, ni Champion du Monde de Voltige dans son avion personnel, n’auraient pu être massacrés par cet pourriture d’univers :

    Voilà ce qu’aurait dû être la relation du Vol AF 447 Rio-Paris avec mes ailes :
    “ Nous volions pourtant à 11.000 mètres, lorsque brusquement, sans transition, nous fûmes surpris par des turbulences d’une violence inouïe !
    Pendant cinq minutes nous volâmes dans la tourmente. Mais nous devons à la vérité de dire que la façon dont s’est comporté notre nouveau Long-Courrier en cette circonstance, est absolument merveilleuse ! !
    Nous pûmes nous rendre compte à l’amplitude et à la rapidité des mouvements de ses ailes “vivantes” de l’état d’agitation extrême de l’atmosphère. Mais nous ne ressentîmes aucun tangage, aucun roulis, aucune secousse, aucune agitation. Nous flottions immobiles dans l’air tourmenté comme un Oiseau, et les pilotes n’eurent jamais à reprendre les commandes, laissant l’avion et ses ailes “vivantes” continuer à voler comme si de rien n’était ! ! !

    Le Champion du Monde de Voltige, quel que fut l’état turbulent de l’atmosphère, s’adap- tant au peu de visibilité qu’il rencontra, serait redescendu à 30 km/h au besoin sans craindre quel que “décrochage” que ce soit, et aurait terminé son vol avec sa compagne et ses deux enfants dans la sécurité et le confort de mes ailes “vivantes”, au lieu d’être précipités à plus de 100 km/h contre une colline.

    http://www.voler-sans-plus-pouvoir-s-ecraser.net

    jean.teremetz@free.fr

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