Bolivie – Jour 16 : Visite de Sucre

On se lève à 6h40, mais en réalité on était réveillés depuis 6h car on entendait des gens parler dehors. Puis vers 6h30 les chiens aboient. L’insonorisation n’est vraiment pas le fort des boliviens.

Nous prenons le petit dej vers 7h10. La dame de l’hôtel installe tout pour nous dans la cuisine, car il semble que d’habitude elle installe tout dans le petit patio, avec une belle table où tout est installé. Mais on a du arriver un peu tôt…

On fait le checkout vers 7h30 après s’être lavés les dents (et effectivement entre temps elle a eu le temps de tout installer dehors).

Jour 16 Bolivie Sucre Petit Dejeuner

En sortant de l’hôtel on prend un taxis (5Bs/personne) pour se rendre à l’hôtel La Selenita, où l’on a une réservation pour le soir même. Pas que l’autre hôtel soit loin (c’est le même pâté de maison), mais ça monte d’une bonne cinquantaine de mètres, et nos valises sont assez lourdes.

Le taxi est sympa mais à l’intérieur de sa voiture, ça pue le gaz avec sa bonbonne de gaz jaune à l’arrière. Comme sa voiture est un peu pourrie, on espère quand même ne pas exploser dans sa voiture, ce serait quand même moche comme fin…

Il nous amène devant la Selenita.

La fille de la patronne nous ouvre ; on avait frappé à la porte, mais la maison de la patronne n’est pas tout de suite après l’entrée donc ils n’ont pas du entendre. On a du appeler pour qu’ils viennent nous ouvrir. En fait on se rendra compte plus tard qu’il y avait une sonnette mais sur la porte du garage, et on n’avait pas regardé…

On lui laisse les valises (dans la maison de la patronne : la chambre n’est pas encore prête), elle nous donne les clefs afin qu’on puisse revenir le soir sans avoir à faire le checkout.

On sort de la Selenita à 7h45, et on descend la rue vers le centre ville jusqu’à Joy Ride, on y est à 7h55 (donc à l’heure !).

Personne n’est là, même à 8h10, on poireaute sans trop savoir quoi faire, alors j’aide un vieux (qui a du avoir un AVC car il semble hémiplégique) à rentrer dans la cathédrale donc l’entrée est juste derrière ; il a du mal à marcher et j’ai du temps à perdre, alors allons-y.

Ils finissent par ouvrir la porte du bureau Joy Ride vers 8h10.

On ne peux pas booker de tour aujourd’hui (il leur faut contacter les guides la veille) alors on booke un tour pour le lendemain (Marche sur le chemin de l’Inca + cratère de Maragua pour 419Bs par personne si moins de 5 personnes dans le groupe, sinon c’est moins cher) et le surlendemain (vélo autour de Sucre + visite du parc Cretacique de Sucre).

Sortis du bureau de Joy RIde, comme j’ai à moitié envie de vomir, on va prendre un jus d’orange au Joy ride café juste à coté afin de pouvoir utiliser les toilettes. Bon, c’est Caroline qui boit les deux jus d’orange mais à l’arrivée je suis bien content d’avoir pu aller aux toilettes…

On se rend ensuite dans la cathédrale (donc en face) où se tient la messe du matin. La cathédrale n’est pas splendide de l’intérieur, elle est plus jolie de l’extérieur.

Jour 16 Bolivie Sucre Cathédrale
Jour 16 Bolivie Sucre Cathédrale
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Puis on va a la Casa de la Libertad (entrée : 15 Bs), en traversant la place centrale (Plaza 25 de Mayo, d’après la date de la bataille entre les indigènes et les espagnols), ce qui nous donne une belle vue sur la cathédrale.

Jour 16 Bolivie Sucre Plaza 25 de Mayo
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Jour 16 Bolivie Sucre Plaza 25 de Mayo
Jour 16 Bolivie Sucre Plaza 25 de Mayo

Quelques minutes plus tard, on a une visite en français (avec un groupe de 4 scouts de France, ainsi que deux français qui doivent avoir la quarantaine).

Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad

La Casa de La Libertad est intéressante car c’est le lieu où sont conservés les déclarations d’indépendance, et c’est aussi le lieu où elle fut signée (c’était un ancien couvent Jésuite, puis c’est devenu une école de droit). Les gens de Sucre n’hésitent pas à rappeler plusieurs fois que Sucre était à l’origine la capitale de la Bolivie (à partir de 1825). Ils aiment bien rappeler également que du temps où la ville s’appelait La Plata, le roi Philippe II avait établi l’Audencia de Charcas, dont l’autorité allait d’une partie du Pérou au nord de l’Argentine et du Chili, avec le Paraguay et la Bolivie.
Et donc le 6 août 1825 fut signée, dans cette Casa de La Libertad, la déclaration d’Indépendance qui créait la République de Bolivie (dont les frontières correspondaient grosso modo au Haut Pérou d’avant), et la ville a été renommée du nom du maréchal Antonio José de Sucre (compagnon d’arme du libérateur Simon Bolivar).

Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
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Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Casa de la Libertad
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En sortant de la Casa de La Libertad, on part marcher vers le parque Bolivar.

Jour 16 Bolivie Sucre Plaza
Jour 16 Bolivie Sucre Plaza
Jour 16 Bolivie Sucre Plaza
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Sur la rue Arenales, on rentre d’abord dans l’église Saint Michel. Pas qu’elle soit conseillée quelque part, mais simplement car elle était ouverte, alors on est allés voir.

Jour 16 Bolivie Sucre Iglesia San Miguel
Jour 16 Bolivie Sucre Iglesia San Miguel
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Puis la petite clinique :

Jour 16 Bolivie Sucre Plaza Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Plaza Libertad
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On passe devant l’hôpital Santa Barbara avec le petit parc juste devant (avec au centre l’Obélisque), et le Theatro Gran Mariscal de Aya Cucho.

Jour 16 Bolivie Sucre Plaza Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Plaza Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Plaza Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Plaza Libertad
Jour 16 Bolivie Sucre Plaza Libertad

En continuant à marcher, on passe devant la Corte Suprema de Justicia (siège du pouvoir judiciaire de Bolivie qui est le seul encore à Sucre, car les pouvoirs exécutifs et législatifs sont désormais à La Paz), puis on arrive dans le parque Bolivar qui contient plein de structures gonflables pour les enfants sur sa partie haute.

Jour 16 Bolivie Sucre Parque Bolivar
Jour 16 Bolivie Sucre Parque Bolivar
Jour 16 Bolivie Sucre Parque Bolivar

Plus bas, plein de structures en fer forgé : notamment une petite tour Eiffel qui fut dessinée par Eiffel lui-même ! Les composants ayant été envoyé depuis la France en 1908 et montés par des ingénieurs locaux. On peut monter en haut (elle doit faire une dizaine de mètres de haut, et elle fut ouverte le 25 mai 1909, afin de marquer le centenaire de la révolution de 1809 (la révolution ayant démarrée le 25 may 1809 sur la place centrale). Elle fait écho à un petit Arc de Triomphe en haut du parc, en face de la Cour Suprême.

Jour 16 Bolivie Sucre Parque Bolivar

On va jusque au bas de la place, où se trouve la station Aniceto Arce, qui fut une des plus grandes stations d’Amérique Latine en terme de trafic.

Jour 16 Bolivie Sucre Parque Bolivar
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Jour 16 Bolivie Sucre Parque Bolivar
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On remonte le parc, sur les bords duquel on voit une piscine de 50m à ciel ouvert (c’est la Piscine du Parque Simon Bolivar).

Puis on voit, dans le parc, un gars proposant des chiots à adopter, donc même si on n’a aucune intention de les adopter, on leur fait de multiples papouilles. Marant comment les petits chiots sont déjà en attente de caresses et calins alors qu’ils n’ont que quelques jours. Ils sont tous léger, pas plus grands que ma main, il y en a des blancs, des noirs, un noir et blanc, ils sont mignons comme tout.

Jour 16 Bolivie Sucre Parque Bolivar
Jour 16 Bolivie Sucre Parque Bolivar
Jour 16 Bolivie Sucre Parque Bolivar

On remonte jusqu’à l’obélisque puis on tourne à droite pour prendre la calle Destacamento 111 jusqu’au cimetière. La rue monte fortement, puis descend fortement, puis remonte, puis redescend. On dirait que la ville est bâtie sur un champs de collines à forte pente.

Jour 16 Bolivie Sucre calle Destacamento
Jour 16 Bolivie Sucre calle Destacamento
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Jour 16 Bolivie Sucre calle Destacamento
Jour 16 Bolivie Sucre calle Destacamento
Jour 16 Bolivie Sucre calle Destacamento

On passe devant le cimetière, sur lequel est écrit « hodie mihi, cras tibit » (aujourd’hui nous, vous demain).

Jour 16 Bolivie Sucre cemeterio general
Jour 16 Bolivie Sucre cemeterio general
Jour 16 Bolivie Sucre cemeterio general

En rentrant dans le cimetière, on voit un panneau semblant demander de payer pour le visiter (35Bs, soit 5€), or comme il nous semblait que c’était gratuit, mais qu’on ne veut pas frauder, on repart en direction de la plaza centrale par la rue Raphael Bustillo.

Jour 16 Bolivie Sucre Calle Raphael Bustillo
Jour 16 Bolivie Sucre Calle Raphael Bustillo
Jour 16 Bolivie Sucre Calle Raphael Bustillo

On trouve un petit resto, sur le chemin, qui fait des Empañadas. Trois empanadas sont proposés (ainsi qu’un végétarien). On en prend un de chaque (9Bs chacun, + 25Bs la bière Huari). Il y a viande, poulet et jambon-fromage. Mais globalement ils sont moins bons que ceux qu’on a mangé en Argentine.

Jour 16 Bolivie Sucre Empanadas Huari

Au moment de payer, je me rend compte que je n’ai plus assez d’argent liquide. Et évidemment, ici personne ne prend la carte bancaire. Du coup je laisse Caro au resto, j’explique à la dame du resto que je vais aller chercher de quoi payer et je me rend à la place centrale (à environ 3 blocs).

Il y a sur la place un distributeur Banco Fie (c’est la banque qui fonctionne bien avec nos cartes française et qui ne prend pas de commission). Je prend de l’argent et je retourne au resto payer.

On repart par la calle Azurduy. Mais au bout de 200m, je me rend compte que j’ai oublié mon sac à dos au resto. En y retournant, on le retrouve sans soucis (ils ne l’ont pas volé du tout). Globalement en Bolivie, on n’a pas du tout trouvé que les gens étaient menteurs, ni arnaqueurs. Les taxis nous annonçaient toujours le bon prix (celui qu’on aurait payé si on était bolivien), pareil chez les autres commerçants ; mais par contre les prix ne sont pas négociables.

Du coup on repart par la calle Azurduy, afin de nous rendre au mirador de la Recoleta. C’est un point haut de la ville depuis lequel on a une belle vue, et juste derrière il y a un couvent intéressant à visiter. Pmonte très fort ! On doit être sans problème à une pente de 25% ! Heureusement il n’y a pas de pavage dans cette rue, c’est que du bitume, car sinon nos chaussures auraient tendance à glisser.

Jour 16 Bolivie Sucre calle Azurduy
Jour 16 Bolivie Sucre calle Azurduy
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Au bout de la rue, on passe sur la calle Dalence, pavée sur la fin, mais qui monte très fort aussi ! Et donc ça glisse un peu.

Jour 16 Bolivie Sucre calle Azurduy
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On fini par arriver au mirador de la Recoleta vers 13h45. D’en haut, une belle vue sur la ville, mais gênée par des arbres et les paillotes du restaurant juste en dessous.

Jour 16 Bolivie Sucre Mirador Recoleta
Jour 16 Bolivie Sucre Mirador Recoleta
Jour 16 Bolivie Sucre Mirador Recoleta
Jour 16 Bolivie Sucre Mirador Recoleta
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On reste là une grosse dizaine de minutes, puis on redescend vers l’église San Francisco (à deux pas de la place centrale) par la calle Iturricha puis la calle San Alberto. On est dimanche après-midi, malheureusement l’église est fermée.

Jour 16 Bolivie Sucre calle Iturricha
Jour 16 Bolivie Sucre calle Iturricha
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Jour 16 Bolivie Sucre calle Iturricha
Jour 16 Bolivie Sucre calle Iturricha
Jour 16 Bolivie Sucre calle Iturricha

Du coup on rentre dans le marché de Sucre, situé juste derrière l’église, dans le même pâté de maison. Mais il est tard, toutes les commerçantes (ce ne sont quasiment que des femmes) sont en train de tout remballer.

Jour 16 Bolivie Sucre Mercado
Jour 16 Bolivie Sucre Mercado
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On fait quand même un tour dans le marché, puis on remonte vers notre hôtel.

On monte au dessus de la rue Jose Mostajo (où se trouve notre hôtel) afin de trouver quelqu’un qui veuille bien nous vendre des bouteilles d’eau. On trouve un vieux qui tient une épicerie juste au dessus de l’hôtel. On lui achète 2 bouteilles d’eau. Alors c’est assez marrant les épiceries à Sucre : ce sont des toutes petites épiceries, mais fermées par un grillage, dont seule une petite fenêtre subsiste, un peu comme si l’épicier était enfermé dans son épicerie-prison. Je suppose que c’est pour éviter les pillages ou les braquages.

Ensuite on va dans notre chambre à l’hôtel poser nos vêtements, puis on va voir au niveau de l’appartement des proprios afin de récupérer nos valises laissés là le matin.

La fille de la patronne, Lune, nous fait la visite de l’endroit (car l’hôtel est répartis en différentes petites cabanes, plus une autre où se trouve l’endroit où on reçoit le petit-déjeuner), puis on discute une bonne heure avec elle, car elle vit depuis 20 ans en Bolivie (elle est belge par sa mère et française par son père), donc on l’assaille de toutes les questions qu’on se pose depuis maintenant sur la Bolivie : comment elle supporte l’absence de code de la route, comment elle supporte les bus qui ne partent ni n’arrivent jamais à l’heure, comment se passe sa journée type (les horaires de son lycée), etc. Elle nous donne les adresses des restaurants qu’elle trouve bien dans la ville, nous dit les endroits qui sont vraiment bien à visiter (notamment la Recoleta et l’église San Francisco). On discute jusqu’à 16h40, où quand on se rend compte qu’on la retenue alors qu’elle devait aller a un cours a partir de 16h…

On fait une sieste, parce qu’on a déjà marché déjà plus de 15km dans la journée et on commence à être un peu fatigués (d’autant qu’il fait assez chaud en journée à Sucre, donc ça a tendance à fatiguer d’autant plus).

Le soir, vers 19h30, on ressort afin d’aller annuler le tour qu’on avait booké pour mardi chez Joy Ride. A la place, on visitera à Sucre ce qu’on n’a pas eu le temps de faire aujourd’hui. On y arrive avant la fermeture, du coup on annule sans problème (et sans frais).

Ensuite on cherche un resto pour manger. Chez le café de Condor Trekker, on prend une eau pétillante, mais on ne dîne pas, car tout ce qu’ils proposent est pour végétariens, avec du tofu, ce qui ne nous fait pas très envie.

Du coup on marche à 100m plus loin au Kultur Berlin Café où on dîne. C’est pas trop mal. L’avantage de ces restos pour jeunes, c’est qu’ils proposent toujours la connexion wifi.

Puis on rentre à l’hôtel, vers 22h. Demain, on doit se lever tôt pour le trek à Maragua !

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