Ce petit billet n’est rien de plus qu’un bookmarquage de deux logiciels de contrôle de réseaux LAN et Wifi.
Bien sûr, je n’incite personne à les utiliser pour faire du mal à quiconque, mais bon, sur le réseau de chez soi, on peut s’entrainer à récupérer des paquets, en envoyer, bref, s’amuser avec les logiciels, ce qui permettra à tout un chacun d’améliorer ses connaissances en réseaux et protocoles UDP/TCP-IP.
Les deux logiciels sont :
Voilà ce qu’en dit Wikipédia :
En informatique, netcat est un utilitaire permettant d’ouvrir des connexions réseau, que ce soit UDP ou TCP. Il est conçu pour être incorporé aisément dans un large panel d’applications. En raison de sa polyvalence, netcat est aussi appelé le « couteau suisse TCP/IP ». Il existe sur plusieurs systèmes d’exploitation et s’utilise en ligne de commande.
Il peut être utilisé pour connaitre l’état des ports à la façon d’un scan de ports. Les paramètres peuvent comprendre une plage de ports et une variation aléatoire plutôt qu’un scan d’ordre décroissant par défaut. Il existe aussi une option qui permet d’envoyer des packets source-routed, des packets qui sont envoyés via des routers dont on spécifie les IPs.
Voilà ce qu’en dit Wikipédia :
Aircrack-ng est un groupe d’outils de monitoring pour réseau sans fil dont l’utilisation principale est le « cassage » de clés WEP et WPA-PSK.
Aircrack fut développé sous licence GPL par Christophe Devine (consultant en sécurité informatique) puis repris par Thomas d’Otreppe sous le nom de Aircrack-ng.
La version 0.9, comprend entre autres les outils suivants:
- aircrack-ng : casseur de clés WEP statiques et WPA-PSK (Nouveau type de casseur: PTW)
- airdecap-ng : décrypteur de fichiers WEP/WPA capturés
- aireplay-ng : programme d’injection de paquets 802.11 (disponible sous Linux et FreeBSD seulement)
- airodump-ng : programme de capture de paquets 802.11
- airtun-ng : programme pour la création d’une interface virtuelle
En tant qu’outil de surveillance réseau, Aircrack a été conçu pour tester la sécurité de son propre réseau. Cependant, ces logiciels peuvent permettre à un cracker d’entrer sans autorisation sur un réseau informatique, ce que de nombreux pays répriment comme un délit.