Superbe reportage : « Les Gens du Fleuve : Le Zambèze »

Vu hier à la TV (chance, d’ailleurs, parce que je n’avais pas allumé la mienne depuis plus de 2 mois), un reportage sur les gens gravitant autour du fleuve Zambèze, entre Zambie et Zimbabwe. Le reportage est centré sur la Zambie, car la situation politique n’a pas l’air d’être trop favorable au Zimbabwe (ou alors ils en ont parlé au début du reportage, quand je ne regardais pas).

Et puis, un magnifique geste. Un formidable geste qu’à fait l’équipe de tournage en à Joseph, petit agriculteur de sa parcelle. Pour nourrir ses 7 enfants, il doit faire 2h de route le matin vers le fleuve et 2h de route le soir pour rentrer. Et il ne pêche pas de très gros poissons. Bref, pas une personne très riche.

J’ai toujours eu un faible pour les gens à qui on fait des cadeaux qui leur font énormément plaisir : le plaisir de gens m’est très communicatif. Et là c’est le cas. Ce passage du reportage m’a donné à sourire que j’avais encore le lendemain matin. C’est pas comme pour un enfant qui reçoit des cadeaux de noël. Là c’est une expérience qu’un homme va faire une seule fois dans sa vie, qui va complètement bouleverser la façon de se voir. Au moins pour ce passage, le reportage vaut la peine d’être vu.   
Victoria Falls

Au delà de ça, le reportage propose des images tout à fait magnifiques.

Le lien du reportage.

Le synopsis :

Avec ses 2500 kilomètres, le Zambèze est le quatrième fleuve le plus long d’Afrique. Il prend sa source en Zambie, traverse plusieurs pays et termine sa course au Mozambique, où il se jette dans l’océan Indien. Lorsqu’il découvre les chutes du Zambèze en 1855, David Livingstone est fasciné. Il décide de les nommer «Victoria Falls», en l’honneur de la reine d’Angleterre. Joseph, le villageois de Songwé, jette ses lignes dans le fleuve pour nourrir sa famille. Sur les berges, éléphants et rhinocéros viennent s’abreuver. Dans la brousse, Salomon travaille comme ranger et veille à la sauvegarde des animaux. Dans les eaux, se côtoient hippopotames et crocodiles. Joe Brooks avoue les avoir longtemps chassés.

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