Un sketch qui tourne depuis au moins trois semaines sur mon Reader, et que par esprit rebelz, je ne voulais pas voir. Jusqu’au jour où. Bref, je l’ai vu, et, chose complètement inconcevable, je l’ai aimé (le sketch, hein, pas Facebook). Justement parce que je n’aime pas trop le phénomène Facebook (le phénomène, j’ai bien dit).
Pour développer un peu, j’apprécie l’engouement autour de Facebook, qui m’a permis de retrouver beaucoup plus d’anciens camarades que L’Internaute/Copains d’avant l’avait fait. De surcroît, la publicité est quasiment inexistante sur Facebook, contrairement à ce qui est pratiqué chez la concurrence précédemment citée.
Ce que je déteste avec Facebook, c’est d’entendre des gens de mon entourage (typiquement, des non-informaticiens) me sortir un désormais classique « t’as un Facebook, toi ?« , comme si c’était la dernière des choses nouvelles/branchouille/intelligente. Alors que non. Facebook, ça fait longtemps que ça existe, et il n’y a vraiment pas de quoi être fier que d’avoir un compte sur ce réseau (je veux dire par là que y’a plus difficile).