Bolivie – Jour 2 : Miami

Nous nous réveillons vers 7h30. Même si on s’est endormis vers 1h30 et que l’on s’est régulièrement réveillés cette nuit à cause du décalage horaire, ça fait quand même du bien de dormir un peu dans un vrai lit.

Nous nous rendons au Lobby de l’hôtel afin de prendre notre petit dej. Là, le gars de l’hôtel nous demande si on souhaite reporter les 20$ de voucher que nous avions pour le dîner d’hier soir sur le petit dej de ce matin (nous n’avons que 10$ de voucher alloués pour ce petit dej ; or les prix de cette hôtel sont assez hallucinants : 22$ le buffet + taxes). Nous acceptons, car nous n’avons de toute façon pas trop d’option, et si on veut manger un petit dej, c’est au moins 10-12$ + taxes.

Miami Jour 2 Marriott

Revenus à notre chambre, on re-dort une heure, puis on fait le checkout vers 11h30.

On reprend ensuite le shuttle bus de l’hôtel pour aller à l’aéroport, où on repasse au comptoir du service client… Pour recevoir à peu près la même explication qu’hier : nous sommes les premiers sur la liste d’attente, mais avant nous il y a 8 clients en surbooking. On enregistre quand même nos bagages, on aura à revenir ce soir une heure avant le début du vol pour savoir si oui ou non on peut monter dans l’avion.

On passe ensuite toute l’après-midi dans un coin de l’aéroport, à attendre en jouant sur nos portables et en discutant.

Miami Jour 2 Aeroport

Miami Jour 2 Aeroport

Miami Jour 2 Aeroport

Miami Jour 2 Aeroport

Miami Jour 2 Aeroport

Vers 19h, on va se prendre un petit dîner au Taco Bell de l’aéroport.

Puis on passe dans la zone d’embarquement. Ils nous font enlever nos chaussures et passer quand même dans le scanner corporel.

Dans la zone après le check bagage, on prend le Air Train qui relie les différents points de la zone d’embarquement entre eux, jusqu’à arriver jusqu’à notre porte, la D5.

Miami Jour 2 Aeroport

Une heure avant le décollage, nous allons voir le mec d’American Airlines qui se trouve derrière le comptoir d’embarquement de notre vol (le chef d’escale). En regardant nos billets, il nous dit avec une tête pas du tout positive « vous êtes au courant que vous êtes sur liste d’attente, n’est-ce pas ? », et qu’il ne peut pas nous dire si on pourra monter dans l’avion, qu’il faudra revenir 15 minutes avant le décollage, une fois que tout le monde sera rentré dans l’avion…

Pour être honnête, là, on n’y croit vraiment pas…

Nous revoyons un petit groupe de français de Haute Savoie qui étaient dans le même vol Iberia Madrid-Miami que nous, et qui avaient également loupé leur vol vers La Paz d’hier soir (tout comme nous). Ils s’étaient ajoutés sur la liste d’attente après nous (car ils avaient mis une heure de plus à passer la douane). Ils ont eu plus de chance : quand il sont revenus dans l’après-midi, l’hôtesse de American Airlines leur a trouvé des places qui venaient juste de se libérer sur le vol (suite à un désistement), et du coup ils ont de vraies places (donc ils ne sont pas en liste d’attente, eux). On trouve ça bien pour eux, mais totalement injuste pour nous : nous étions en premier dans la liste d’attente… Ça ne sert pas à grand chose de mettre un ordre dans la liste d’attente si au premier désistement, on peut avoir un siège.

Après que tout les gens aient embarqués sur le vol, le chef d’escale fait maintenant des annonces au micro pour demander si il y a des gens avec des billets remboursables qui veulent bien laisser leur place et avoir un voucher de 1000$ valable un an sur OneWorld… Mais ça ne semble pas intéresser grand monde. Au bout de quelques minutes, et à force de répéter ça dans le micro, trois personnes se présentent. Je ne comprend pas tout, mais je me dis que c’est pas avec trois personnes qu’on va régler le problème des 8 personnes en surbooking…

On reste devant le comptoir pendant que les gens finissent de rentrer dans l’avion.

Apres les multiples last call, le gars de l’embarquement nous donne de vrais billets.

On rentre dans l’avion, soulagés mais en se disant que vu qu’ils vont fermer les portes juste derrière nous, on n’aura jamais nos valises à La Paz.

Arrivés dans l’avion, il reste encore plein de place ! Les 5 derniers rangs sont vides !!! Il y a plein de sièges vides à l’arrière ! On se demande pourquoi ils nous ont autant fait attendre quand on voit cette quantité de places. Surtout qu’on est sensés être les derniers, vu qu’on est rentrés après les last calls.

Mais non : 5 minutes plus tard arrive une équipe entière de jeunes sportifs (tous avec des t-shirts marqués Ohio State), et qui remplissent les sièges vides de l’arrière, ainsi que toutes les rangées vides (sauf les deux dernières qui resteront vides).

Dans l’avion, peu de français. On voit des italiens, allemands, beaucoup d’américains.
On part du point fixe à 23h00.

On décolle seulement vers 23h25, à cause d’un problème avec la tour de contrôle et l’orage… Je n’ai pas bien compris les explications du commandant de bord.

Vers 00h40, on reçoit un dîner, composé du même plat principal que dans le vol Iberia (« Chicken or pasta ? »). Comme dans le vol Iberia, on avait pris les pâtes et que c’était sans intérêt, cette fois-ci on tente le chicken. Sans grand intérêt non plus.

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